Ou acheter cigarette électronique quebec ?

Ou acheter cigarette électronique quebec ?

À la suite des recommandations du directeur national de la santé publique, le ministre de la Santé et des Services sociaux entend prendre des mesures pour mieux contrôler la vaporisation. Christian Dubé est particulièrement défié par les arômes et les saveurs, ainsi que par la limite maximale de nicotine.

« Compte tenu de la popularité croissante des produits de vaporisation, surtout chez les jeunes, il est impératif de faire en sorte qu’une nouvelle génération ne dépendra pas de la nicotine à cause de ces produits », a déclaré le ministre Dubé.

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Il convient de noter que le rapport contient des recommandations qui doivent être mises à disposition pour protéger la santé des jeunes et de la population en général contre les risques de la vapeur. Ces recommandations ont été formulées à la suite des travaux du Groupe de travail sur la vaporisation, composé de représentants du Ministère de la santé et des services sociaux et du Ministère national de la santé. Institut de la santé publique, cliniciens, autres ministères et autorités d’État, directeurs de la santé publique et organisations non gouvernementales.

Le rapport contient sept recommandations :

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Interdire la vente de produits de vaporisation d’un goût ou d’un goût différent de celui du tabac, comme c’est le cas pour les produits du tabac.

Limiter la concentration maximale de nicotine de tous les produits vapeurs à 20 mg/ml et contrôler la capacité des réservoirs et le volume maximal des bouteilles de liquide vapoteur.

Établir un permis de vente pour les produits de vaporisation et établir une autorisation de vente pour les produits du tabac à des fins de cohérence.

Réduire la densité des points de vapotage à proximité des établissements d’enseignement.

Appui à l’adoption d’une taxe provinciale spécifique sur la vapeur.

établissant un cadre juridique pour limiter les caractéristiques des produits de vaporisation, y compris ceux qui peuvent être attrayants pour les jeunes.

Encadrer strictement les produits émergents, tels que les produits à base de nicotine sans tabac.

L’ Association of Vaping Industry Représentants (ARIV), pour sa part, exhorte le gouvernement à s’abstenir d’interdire les arômes des produits vapeurs et à ne pas réduire l’accès aux magasins spécialisés pour les ex-fumeurs.

L’ ARIV croit qu’une éventuelle interdiction de l’évaporation des produits aromatisés entraînerait davantage de problèmes en encourageant les ex-fumeurs à renouer avec les cigarettes tout en stimulant le marché illégal ou les ventes en ligne à l’extérieur du Québec.

« Nous voulons être très clairs : nous ne voulons pas que les jeunes aient accès aux produits de vapotage, et nous partageons la préoccupation du gouvernement quant à la restriction de l’accès au vapotage chez les jeunes. Cependant, il ne faut pas oublier que dans la plupart des cas de Les ex-fumeurs au Québec. En interdisant les arômes des cigarettes électroniques, comme le recommande le rapport, des milliers d’ex-fumeurs ne pourront plus consommer des cigarettes électroniques.

Bon nombre de ces ex-fumeurs courent à nouveau le risque de fumer des cigarettes, tandis que d’autres se contentent d’acheter leurs produits à l’extérieur du Québec sur Internet ou d’acheter leurs produits sur le marché illégal », explique Daniel Marien, propriétaire des ateliers de vapotage et directeur fondateur de l’Association des représentants de l’industrie du vaping.

L’ association souhaite encore renforcer la législation afin que les jeunes n’aient pas accès aux produits de vaporisation et n’utilisent pas. En effet, ARIV tient à rappeler qu’il est interdit par la loi de vendre des produits de vapotage à des personnes de mineurs au Québec. Avant que l’industrie du vapotage n’introduise de nouvelles restrictions à la hâte et au cœur de la gestion des pandémies, elle demande au gouvernement du Québec prendre le temps de bien faire les choses et de ne pas bannir les saveurs des cigarettes électroniques.

Il convient de rappeler que les données montrent que l’utilisation de produits vapeurs augmente chez les jeunes. Selon la dernière enquête québécoise sur le tabac, l’alcool, les drogues et le jeu chez les élèves du secondaire (ETADSCHS), la proportion de jeunes qui se sont évaporés au cours des 30 jours précédant l’enquête a quintuplé en 6 ans (passant de 4 % en 2013 à 21 % en 2019).